commentaire(s) publié(s) par Diego Montes
38 commentaires postés
20/07/2019 - Aux Sources - "Planter du Blanc", le néocolonialisme français
Cher, cher Manuel Cervera-Marzal, la colère qui s'était emparée de moi alors que je visonnais l'émission sur l'anti-intellectualisme et que je venais de me friter sauvagement avec mon beau-père s'est apaisée et je me mords les doigts et trois fois la langue pour vous avoir intenté un procès inique. Je maintiens que l'ambiance feutrée et l'orientation de l'entretien (de toutes façons déterminée par le contenu du livre de Mlle ou Madame Al-Matary, par ailleurs très claire dans ses propos, mais j'aurais aimé qu'elle focalise son attention sur autre chose que sur le caractère transversal de l'anti-intellectualisme (et qu'elle se garde de voir en ce jeune homme que l'on voit partout et dont j'ai oublié le nom le héraut d'une révolution par trop bordélique)) ait été quelque peu révoltant, mais je tiens à vous dire que vos questions sont pertinentes et que les sujets de vos émissions sont toujours exaltants. Sinon...
L'histoire du colonialisme telle que racontée par Mr Bouamama m'a décillé le regard sur les origines du Capitalisme, et le développement criminel des empires coloniaux. Je ne sais comment décrire l'état dans lequel je me trouve après avoir vu l'émission (encore). Comme si j'avais ingurgité une potion magique contenant tout Fanon, tout Marx, tout Césaire et tout le Kung Fu du monde!
La tehon pour la Cefran et surtout pour l'extrême droite qui musèle le franc-parler (FPA) !
Bonus: Le plaisir de voir enfin un invité vêtu comme un Prince (modeste Prince s'il en est) avec un agréable jeu de couleurs (je sais, ça sonne comme Marie-Sombre...) (autant pour vous, Manuel (jolie veste maroon)) et en tongues! Parfait pour cet été... à Nouméa.
posté le 03/09/2019 à 19h44
11/05/2019 - Aux Sources - La haine des intellectuels
Je suis dans une colère noire ! Qu’est-ce que c’est que ce ton policé ? Comment peut-on être d’accord avec un interlocuteur sur absolument tout pendant si longtemps ? Je ne comprends pas l’intérêt de faire une émission (je n’ai pas lu le livre) sur le thème de l’anti-intellectualisme si c’est pour nous ressasser que l’anti-intellectualisme est aussi partagé que l’intelligence. Moi, je viens d’une famille de nantis ultra-cathos pinochetistes et racistes pour qui toute personne qui exerce un métier artistique et possède plus de… allons, trois bouquins est un puant communiste doublé d’un intellectuel (entendre extra-terrestre). Je suis aussi obligé de cohabiter avec un beau-père architecte légèrement mégalo (j’espère que cela ne surprend personne) qui est un habitué des dérapages (j’ai par exemple eu le droit, hier, d’apprendre de sa bouche qu’il était lui-même le type le moins antisémite du monde ; outre le caractère absurde de l’affirmation, cela m’a fait songer à son salut hitlérien d’il y a deux ou trois ans au cours d’un dîner, à sa vénération pour Mussolini (immense architecte), Céline, Drieu la Rochelle, et tous les « talents méconnus issus de la collaboration »), et pour qui toute personne qui n’exerce pas un métier libéral est automatiquement autre chose qu’un intellectuel (mais certainement une ou un imbécile). Alors moi je prétends que l’anti-intellectualisme est une connerie, autant que l’intellectualisme, que ce soit celui de mes tantes d’un autre siècle, ou celui de mon facho de beau-père (qui est dans la pièce d’à côté). Une connerie, donc, et très nettement marquée à droite, même chez ceux qui se prétendent les gens les plus à gauche du monde.
Je suis navré, mais vous n’avez pas parlé de Michel Onfray (sauf pour dire qu’il était un symptôme (toujours agréable…) et un succès de librairie. Vous avez survolé Sartre, Foucault, Deleuze, et Bourdieu (que vous avez eu la grâce de montrer). A ce sujet, je ne crois pas que le sociologue se refusait à passer sur le petit écran parce qu’il n’en connaissait pas les codes (relire Sur la télévision). Quels codes ? Sucer son prochain, voilà le seul code de la télévision. Obéir au présentateur tout-puissant, qui t’enjoint par exemple de ne pas parler de politique dans une émission littéraire (et qui plus tard lance une revue de luxe appelée America, America se référant exclusivement aux USoA, et moi je suis un américano bien emmerdé).
Je sais que l’émission ne dure qu’une heure, mais merci d’essayer d’approfondir les discussions, même si c’est au prix d’égratigner quelques monstres sacrés (parce que j’en ai entendues de belles sur messieurs Sartre, Foucault, Deleuze et Barthes (sans parler de BHL et de Glucksmann père, mais ça…), de la bouche du même Onfray).
posté le 02/09/2019 à 14h05
13/07/2019 - Dans le Texte - Contre le théâtre politique
Correctif : en l'absence d'une majuscule (de trop) j'ai pris (deux) points d'exclamation pour pour le pronom il. Je continue cependant à ne pas trouver la formule?? masculine; muscle et masculin sont aussi différents que diverger et dix vergers. Mille plates excuses, rhizome de regrets, et l'espoir que vous trouverez les moyens d'assouplir votre imaginaire dans ce monde si divinement et cruellement invisible.
posté le 31/08/2019 à 12h31 ( modifié le 31/08/2019 à 12h33 )
13/07/2019 - Dans le Texte - Contre le théâtre politique
Des majuscules, des virgules, des points (si possible), des phrases honnêtement tournées, des mots correctement orthographiés, et moins de loufoqueries métaphysiques.
J'espère que mes propos musclés ne masculinent pas trop.
posté le 31/08/2019 à 12h17
13/07/2019 - Dans le Texte - Contre le théâtre politique
A -60 minutes de mon visionnage de l'émission, je me suis réabonné après m'être éloigné de vos programmes pendant 1 an. Et le bonheur de vous retrouver, chère Judith, toujours aussi combative et indisciplinée, et en compagnie de cet invité si, si surprenant! Son évocation du spectacle de Monsieur Meyssat (si c'est bien son nom) au titre bizarre m'a énormément intéressé, notamment la recommandation donnée aux comédiens de suivre leur ligne, sans connaître celle de leurs partenaires, de jeu. Quel ennui, le théâtre, pour les acteurs autant que pour les spectateurs, quand il s'agit de bégayer une partition soir après soir. Foi de comédien. On ne demande pas aux dits acteurs d'être des athlètes de l'improvisation, mais on leur offre les moyens de ne pas s'emmerder (et de ne pas emmerder les autres) sur scène, et, pour filer la métaphore musicale, de développer une oreille plus attentive, et donc plus audacieuse, aux voix des autres interprètes.
Je peux d'ors et déjà vous dire que je vais visionner ad repetitum cette émission foisonnante d'idées, riche d'un désordre magnifique (pour vous reprendre) où fouiller pendant longtemps pour en retirer des pépites, certainement aussi intéressante que le livre dont il est question et que je vais courir, courir m'acheter.
D'avantage de théâtres, d'avantage de théâtre.
Le doigt dans la plaie, mes amis!
A 57 minutes 29, j'ai mis l'émission en pause, en m'exclamant d'une voix rauque "Oh, yeah!" car Olivier Neveux, en parlant de ces artistes qui ne baissaient pas les yeux face au pouvoir institué, en évoquant cette figure de maire-adjoint indigent de bêtise, m'a donné une idée qui me paraît géniale bien qu'encore en germe pour un roman que je suis en train d'écrire et dont un des personnages est justement un maire-adjoint d'extrême centre. Devinez qui va venir le voir...
posté le 31/08/2019 à 05h56
13/01/2018 - Aux Ressources - Quand le PC faisait rêver
Bain de jouvence !
Aujourd’hui que l’Etat et le patronat forniquent outrageusement à la face du peuple (français, états-unien, chilien, brésilien, et à quoi bon poursuivre la liste (sans fin ?)), que l’idée révolutionnaire en France se retrouve incarnée par une (minus) foule de gilets fluorescents hystériques, par des insoumis dont l’organe de presse est un véritable foutoir, que l’idée d’un RIC séduit encore alors qu’il faudrait se repencher sur ce con de Platon qui n’avait finalement peut-être pas tort sur toute la ligne quand il disait que le pouvoir de gouverner devait être réservé à une élite éduquée (et subsidiairement mâle et libre), car, comme l’a souligné Julien Chuzeville, l’instruction est superlativement utile -et n’est pas forcément synonyme de crapulerie, comme semblait le penser un héraut (à tétons… merci la langue française) de ce mouvement que l’on peut voir dans une des trop nombreuses émissions d’Arrêt sur images qui y sont consacrées (Démocratie représentative…). Mais je voulais surtout intervenir pour partager une réflexion qui m’est venue en regardant l’émission, que j’ai trouvée passionnante. Elle concerne l’usage impropre (vraiment impropre) du mot ouvrier. En effet, y a-t-il terme plus connoté que celui-ci ? Outre sa noble étymologie, ouvrier m’évoque : mains sales, abrutissement, illettrisme, dos et poumons en charpie, mais aussi saucisson et piquette, Le Parisien et le Turf, l’épouse soumise et condamnée au silence et le vote FN/RN. Les larbins ou esclaves de Renault ou de Bouygues ne sont, loin s’en faut, les seuls travailleurs de ce pays ! Ouste les Lutte Ouvrière, les SFIO, les POUM et consorts ! Moi, je ne m’identifie pas avec les fourmis de Babylone. J’ignore encore si je fais fausse route en me considérant anarchiste, mais au moins, la définition (sinon l’étymologie) du mot satisfait mes convictions et mes rêves.
Une ultime considération : tout foutre parterre, repartir de zéro, tuer Allende, laissons cela aux capitalistes de tous poils. Il est vrai que l’on est bien mal barré avec la devise républicaine, si j’en crois l’excellent livre L’Egalité sans conditions de Réjane Sénac, mais je crois fermement avoir entrevu une lueur (dans cette même émission d’Arrêt sur images) en écoutant Julia Cagé exposer ses propositions concernant des bons pour l’égalité démocratique, un plafond raz-le-sol pour le financement des partis, et un minimum de transparence concernant ce même financement. Bien mieux qu’un chantier trop flou, trop fou et trop complexe. Quant au Communisme… (il est cinq heures du matin, je vais me coucher).
posté le 28/08/2019 à 09h26
05/11/2016 - Dans le Texte - Les affects de la politique
Je suis fatigué (il est 5:43) de tous ces messages pour la plupart inconsistants. Alors je ne publie pas de message sans contenu, je reprendrai leur lecture demain, et en attendant, je vous félicite, Judith, pour avoir su nous dire ce que j'attendais sortir de la bouche de Frédéric, c'est à dire que vous alliez mal, et pourtant vous alliez bien.
Bisou.
posté le 24/07/2018 à 05h47
05/11/2016 - Dans le Texte - Les affects de la politique
@Claire Leroux. Moi ce qui me fait violence, c'est de me voir moi-même ingurgiter de la viande. Vous imaginiez-vous qu'on hypnotisait les porcs pour les mettre dans votre assiette? Et les images de famine et de guerre sont elles alors moins "tabloïd" et éprouvantes de votre point de vue? Pourquoi ne pas remplacer le 20 heures par la Petite Maison dans la Prairie?
posté le 24/07/2018 à 05h43
05/11/2016 - Dans le Texte - Les affects de la politique
@Camille Escudero. J'irai moi-même dans un bar PMU avec mon loto à la main pour voir un peu la gueule de l'avant-poste des séditions hexagonales, bourré au Ricard et à la Suze et pour mater les chevaux sauvages.
posté le 24/07/2018 à 05h29
05/11/2016 - Dans le Texte - Les affects de la politique
@Philippe Wenkin LPL. Êtes-vous entrain de suggérer à Judith Bernard de se faire opérer?
posté le 24/07/2018 à 05h22
05/11/2016 - Dans le Texte - Les affects de la politique
Ta plume est ta gueule, Michea.
posté le 24/07/2018 à 05h15
05/11/2016 - Dans le Texte - Les affects de la politique
Je n'ai vu d'émotion que d'une part. Désolé.
posté le 24/07/2018 à 05h13
05/11/2016 - Dans le Texte - Les affects de la politique
Deux choses symétriques sur mon jugement de l'exercice périlleux auquel s'est livré Mr Lordon:
1- Beaucoup d'interférences bourdieusiennes.
2- Je pense... Spinoza à tous les coins de rue.
et
3- Quand ce ne sont pas des béquilles, ce sont des attaques ad-hominem.
Je me disais que la lecture des papiers de monsieur Lordon était ardue, mais aujourd'hui je me fie plus que jamais à mon dicton favori: Do judge the book by the cover.
Amitiés.
posté le 24/07/2018 à 05h05
14/07/2018 - Dans le Texte - Les temps modernes
Le seul truc qui m'a énervé est que j'ai effectivement trouvé l'extrait du film de 28 très en rapport avec le capitalisme (permanentes vs couturières). Sinon (je vais être court car je me rend compte que je suis en train de submerger le site de messages plus ou moins pertinents...) vous voir rire tous les deux est réjouissant, même si ce n'est pas en même temps (heureusement, sinon, quel bordel...).
Allez, je dois penser à un copain pour qui le mouvement libre doit signifier quelque chose.
posté le 23/07/2018 à 02h09
21/04/2018 - Dans Le Mythe - Cannibales !
Un dernier mot: ça m'a donné envie de revoir Landru, M le maudit et un tas d'autres films.
Je crois que je vais bien dormir, les enfants.
posté le 21/07/2018 à 22h59
21/04/2018 - Dans Le Mythe - Cannibales !
Niggers and jews on my time
Je passais cool devant l'école de ma rue
Ou y a une plaque aux enfants qui en ont été déportés (je trouvait pas le mot)
Et une autre à la fraternité, l'égalité et la liberté
Quand j'ai vu deux paires d'yeux noirs briller
Il veut que je parle de lui alors Hell yeah
Alors ok, il a une teillebou vide à côté de son assiette
Et j'ai entendu un bruit d'assiette presque brisée
ça vibre dans mes oreilles comme du Bob Marley
Gap
Map
Je me demande qui encore est mouillé
J'ai une béquille, un mauser en héritage
Je suis son et leur otage, je viens de réaliser
Fuck, fuck, fuck, fuck, bam
Word up!
I'm scared like a crazy mother fucker
My wallet is empty and i smoke like a fairy chimney
Alas, if I leave, my poem will stink like shit
But I'll do it, the track is over, they're waiting for me
posté le 21/07/2018 à 21h26
21/04/2018 - Dans Le Mythe - Cannibales !
J'ai gravé Hell on earth de Mobb Deep, et cà me titille de slamer un peu en mesure.
C'est reparti
Il doit tomber
comme il m'a fait tomber
Je vois sa queue nuit et jour
Et il m'a laissé avec un zob de ouistiti
J'ai la main gauche qui sent la merde
C'est ce qui arrive si tu touches la bouffe à daddy
Il doit tomber
posté le 21/07/2018 à 20h40
21/04/2018 - Dans Le Mythe - Cannibales !
C'est une sorte de semoule, seulement avé des grains plus gros et moins bons.
J'espère que je vous laisses. Salut à Jacques (pas le mort (ou alors bicentenaire) qui se ramenait chez nous les couilles dans les mains).
posté le 21/07/2018 à 20h35
21/04/2018 - Dans Le Mythe - Cannibales !
Pardon, c'était des sortes de nems qui ressemblent à des parties de poisson pané. Et ça sent plutôt bon. Je ne goûterai même pas. Je préfère le truc concassé qui n'a pas de goût (même pas de sauce tomâââte).
posté le 21/07/2018 à 20h32
21/04/2018 - Dans Le Mythe - Cannibales !
Mon esclave (mon beau-père) vient de m'apporter la bouffe. ça sent la poiscaille, maintenant.
Il m'oblige à écrire.
posté le 21/07/2018 à 20h30
21/04/2018 - Dans Le Mythe - Cannibales !
Ce que j'écris devient moins intéressant. ça doit être la maestria de Mozart qui m'inhibe.
Est-ce que le vieux Hopkins est encore en vie? En tout cas, moi, mon papa (qui s'y connaît en marmites) est mort. Ma reum étranglée m'a même emmené à son enterrement, alors...
J'aimerais tant (c'est presque un rêve, que les keufs viennent faire un tour ou je creche... Je cohabite rue Boileau.
Voilà, c'était Mozart.
Votre site est vraiment bien foutu. Très beau, magnifique.
posté le 21/07/2018 à 20h29
21/04/2018 - Dans Le Mythe - Cannibales !
Une feuille à rouler dans le tiroir (c'est Amadeus, maintenant, et ça vient de chez moi).
A quoi reconnaît-t-on un anthropophage qui se planque? Est-ce à sa façon obstinée de manger comme un porc (rôti), ou à sa manière de mettre des cadavres de bouteilles de pinard dans le frigo?
posté le 21/07/2018 à 20h21
21/04/2018 - Dans Le Mythe - Cannibales !
Ah! Le mec est en bas et il me lit peut-être.
posté le 21/07/2018 à 20h15
21/04/2018 - Dans Le Mythe - Cannibales !
Je publie ceci avant de lire les autres commentaires... pour une fois.
Mais qu'est-ce qu'ils ont tous à porter ostensiblement des pompes de cuir?? Est-ce que je me ballade avec un scalp de buffle sur la tetê?
Qu'est ce que je dis si vous me dites cannibales? Je vous dit "Anthropophage".
J'ai un parâtre fasciné par le deuxième voyage de Colomb, et subitement intéressé par le cannibalisme, les jolies petites filles, et plein d'aut' choses. J'espère que Prince est au ciel avec son Pc ou son Mac.Phase 1.
Du goût de l'Autre?
Je n'ai pas le sou (aujourd'hui) pour m'acheter un ou deux bouquins qui me titillent et que j'ai envie de dévorer (je ne mange pas de papier, bêêêê). Béatrice Dalle mérite mes excuses (c'était au Bains Douches que je me suis comporté comme un con....). Je me dis, commenr Prince fait-il pour composer d'aussi belles et parfois d'aussi moyens morceaux? Hum...
Alors comme ça, Colomb (le "découvreur" de l'amérique, tout de même) (où était-ce des Indes?) aurait suivi une rumeur pour faire un rapport fructifiant au Roi et à la Reine? Suis-je surpris? Et quid des rumeurs qu'il eut été lui-même un esclavagiste? Quelqu'un pour m'aguïller?
(Ouff! le Riff de Kiss! Wendy et Hugues doivent être aux anges...
Des cris dans la cour...
Je vous laisses.
posté le 21/07/2018 à 20h12
16/09/2017 - Dans le Texte - Vaincre Macron
Et moi je continuerai à viser une société future, à rêver d'un monde sans fric (comme une certaine communauté anarchiste de 36 en Espagne (ou en Italie...?) qui est un exemple plus actuel et plus parlant que les moines cisterciens) et pleine de maisons de terre.
posté le 21/07/2018 à 08h19
16/09/2017 - Dans le Texte - Vaincre Macron
On s'en fout qu'il justifie votre abonnement!
posté le 21/07/2018 à 08h06
16/09/2017 - Dans le Texte - Vaincre Macron
Je ne comprends pas grand chose au laïus de Friot, que je trouve trop abstrait, et je trouve qu'il tourne autour du pot à chaque nouvelle question, questions que, dites-moi si je me trompe, Judith, vous êtes amenée à réitérer dix fois. Moi qui suit bien ignorant, je regarde votre émission pour être stimulé, et aujourd'hui je n'ai toujours pas compris ce qu'est le communisme, le travail des chômeurs, retraités, handicapés et parents (à part élever des enfants, mais ça...). Quand à la xénophobie, qui selon lui est un thème central de son livre, je rien saisi à sa méthode de lutte qu'il nous a exposé pendant une minute. Moi, je tague les flyers identitaires de mon quartier, et je dis aux fachos qu'ils sont des fachos quand ils se montrent fachos. Et puis, faire un livre qui s'appelle vaincre... Macron, le jeune con-con, d'accord, je trouve ça un peu trop ciblé. Nous n'avons quand même pas à faire à Marine ou à Marion.
Encore une fois, je n'ai rien compris (désolé de retourner mon t-shirt).
posté le 21/07/2018 à 07h34
14/07/2018 - Dans le Texte - Les temps modernes
Dépoussiérons nos commentaires, les gars.es!
Diego Montes
posté le 17/07/2018 à 03h37
14/07/2018 - Dans le Texte - Les temps modernes
Pardon: c'est donc Jérémie qui a répondu pour Pauline (beurk the same). Alors Pauline, qu'est ce qui vous fait tant marrer? ça fait trois jours qu'on poireaute.
Diego Montes
PS: Et puis le peuple qui ne veut pas de son propre bien...
posté le 17/07/2018 à 03h27
14/07/2018 - Dans le Texte - Les temps modernes
Heureusement que Pauline a répondu pour Jérémie (beurk). Jacques, votre tâche est désormais de défaire le discours néolibéral. Bon travail.
Libé-ration est élitiste, 28 minutes d'Arte est élitiste, je suppose que Tout le monde en parle et qu'On est pas couchés sont élitistes, et la pub est élitiste. Alors, Jérémie, qu'est-ce qui vous fais dire ce que vous dites?
Diego Montes
posté le 17/07/2018 à 03h21
14/07/2018 - Dans le Texte - Les temps modernes
Judith B., je ne peux plus me concentrer; pourriez-vous vous faire une permanente, et demander à monsieur Rancière de porter une cravate rose au prochain entretien? Je pige de plus en plus les tenants et les aboutissants de la dette (et du libre mouvement), et vous réitère mon désir de monter sur vos planches. Allez, je me retape l'émission.
Diego Montes
posté le 17/07/2018 à 03h09
16/09/2017 - Dans le Texte - Vaincre Macron
Ne jamais dire jamais.
Diego Montes
posté le 12/07/2018 à 20h09
21/10/2017 - Dans le Texte - Médiarchie
Hello, je me sens comme une masse critique quand je vois Judith Bernard dialoguer avec Yves Citton, comme un zombie éveillé qui n'a plus peur de l'ennui.
Merci.
Diego.
posté le 12/07/2018 à 05h24
12/10/2019 - Aux Ressources - Politique du clitoris
J'ai vraiment apprécié de voir nos deux protagonistes se mettre à poil, comme dans un rêve à moi, et certainement pour le plus grand plaisir de tout.e.s mes fellow abonné.e.s.
J'ai le souvenir d'avoir vu, au cours de mon enfance, cent mille et une verges sommairement tracées sur les tableaux noirs, sur le bureau du professeur et sur celui du proviseur, sur les sémaphores et les commissariats, dans Hara-Kiri et Charlie hebdo, et, au bord de la nausée, je me félicite d'assister à la revanche du clito, bien que sa représentation ne soit pas des plus aisées (on songe à un V de la victoire).
Moi, ce qui me chagrine, c'est que toutes les filles ne soient pas aussi véloces que ma Peggy, aussi rebelles que ma Véro, aussi jolies que notre Laura. Au sport, et que ça saute !
posté le 16/10/2019 à 01h12