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commentaire(s) publié(s) par Hubert_Non_Uber

12 commentaires postés

03/12/2016 - Dans Le Film - Le Mépris

Est-ce que je les aime les cerveaux de ces deux critiques ciné ? Je les aime totalement, tendrement, tragiquement.

posté le 04/12/2016 à 16h31

17/09/2016 - Dans Le Film - Homeland : Irak année zéro

Étonné de l'absence de commentaire, après 24h, en ce WE pluvieux, je vais donc en faire un plutôt stérile.

L' entrevue était passionnante si bien que je n'ai vu le temps passer mais ce compliment est à double tranchant. J'ai eu l'impression qu'il manquait un peu d'analyse filmographique et suis un peu resté sur ma faim. Toutefois je peux me tromper.
Cela m'a terriblement donné envie de voir le docu-film.

posté le 18/09/2016 à 16h29

27/08/2016 - Dans Le Film - Daech et le cinéma

Cher Papriko,
Ingrid ne dit pas "I don't like the cock" mais "I don't like to cook" répondant à la réplique de Cary : "I thought you didn't like to cook" puisqu'elle vient de lui proposer de cuisiner.
La réplique suivante d'Ingrid est: "But I have a chicken in the ice-box" et non "I prefer chicken" ou "I'd rather have chicken".
Tout ceci est très univoque il me semble et nullement sexué.
Vous êtes tout excusé vu l'accent légèrement suédois de mon amour cinématographique d'adolescence.
En ce qui concerne le code Hays, le baiser faisait partie des "Be Carefuls" (sujets à traiter avec attention) et non des "don'ts" (interdictions) quand il était lascif ou persistant particulièrement si un des protagonistes représentait un méchant (Excessive or lustful kissing, particularly when one character or the other is a "heavy" ). Hitchcock joue ici avec la limite de cette règle en y intégrant un dialogue qui subdivise un des plus longs baisers du cinéma en une multitude de baisers brefs.
Jean-Louis Comolli s'est juste trompé de règle et avait oublié que le baiser de "North by Nortwest" était présent mais l'esprit de la ruse d'Htchock, passant au plan du tunnel, est bien là dans une scène tout à fait gratuite, ce en quoi vous avez raison.
Je vous trouve un peu tatillon. Le code inclus bien évidemment dans ses "be carefuls" le traitement du couple au lit.
Je vous invite à relire le passage sur le besoin de scènes gratuites qu'Hitchcock livre à Truffaut à propos du même film. Il avait prévu une scène où Thornhill ( thorn anagramme de north) parlerait avec un contremaître le temps de la fabrication d'un voiture à Détroit et à la fin un cadavre apparaîtrait. Ce qui est quasiment la première scène de "Christine" de John Carpenter.
La gratuité n'est pas si gratuite parfois. Hitchcock voyait souvent ses scènes avant le scénario et savait ce qu'il voulait imprimer.

posté le 03/09/2016 à 18h11 ( modifié le 03/09/2016 à 19h15 )

30/04/2016 - Dans Le Film - La Prisonnière du désert, une enquête

J'aime moyennement les westerns mais à force que vous n'en parliez ici et au forum des images, j'ai fini par le voir aujourd'hui et je reconnais son importance.
Merci, une fois de plus, pour cette analyse enrichissante.
Peut-on trouver texte qui développe la gémellité - concept récurrent de votre approche dialectique, semble-t-il - de Vertigo et The Searchers, sous votre plume ou autre ?

posté le 01/05/2016 à 22h26

26/03/2016 - En accès libre - Clint Eastwood, le Grand Réparateur

La parabole du jet de badge par Callahan, n'est pas interprétée ainsi par Don Siegel dans ses mémoires: Don Siegel (...) writes in his autobiography, A Siegel Film, that Eastwood didn't want to imply that his character -- even though he plays by his own rules -- was quitting the San Francisco Police Force by tossing his badge away.
"You're not quitting," said Siegel. "You're rejecting the bureaucracy of the police department, which is characterized by adherence to fixed rules and a hierarchy of authority."
Aurait-il user un argument fallacieux pour convaincre Eastwood ?

posté le 26/03/2016 à 18h28

23/01/2016 - Dans Le Film - L'attrait de la neige

Euh...Faut que j'apprenne à aligner deux mots. Je voulais dire :
Je trouverais judicieux, pour étoffer ce propos, de voir/revoir Y aura-t-il de la neige à Noël de Sandrine Veysset dans lequel la neige est vue comme symbolique de fête, d'espoir et de changement d'état.

posté le 23/01/2016 à 22h50

23/01/2016 - Dans Le Film - L'attrait de la neige

Avec tout ça, mon agenda cinématographique ne va pas maigrir.
Je trouverais judicieux, pour étoffer ce propos, de voir/revoir Y aura-t-il de la neige à Noël de Sandrine Veysset comme symbolique de fête, d'espoir et de changement d'état.

posté le 23/01/2016 à 15h43

09/01/2016 - En accès libre - La bataille de l'imaginaire

@ Faab : On le voit à 00:50 http://biglazyrobot.com/i-diots/

posté le 09/01/2016 à 20h13

12/12/2015 - En accès libre - Vertigo, une enquête

Je vais peut-être vous paraître hors sujet, pardon d'avance, mais y a-t-il parmi vous, cinéphiles et hitchcockophiles, quelqu'un qui aurait vu Dial M for Murder/Le crime était presque parfait en blu-ray 3D et pourrait me donner ses impressions ?
Le rêve serait de le voir en salle obscure puisqu'il a été crée pour la 3D, à l'origine mais, dans ma province, j'ai guère d'espoir de vivre cela .

posté le 14/12/2015 à 15h32 ( modifié le 14/12/2015 à 15h44 )

12/12/2015 - En accès libre - Vertigo, une enquête

Merci pour cette analyse d'un film que j'ai vu plus de dix fois en ratant plein de subtilités notamment de jeux de lumière. Ce que dit Murielle Jourdet sur la dualité du langage de Madeleine est très pertinent.Je repense à la scène devant la mer où elle dit: " There's someone within me, and she says I must die". Peut-être n'avez-vous pas assez mis en avant le rôle de la musique de Bernard Hermann qui, de mémoire, structure, plus qu'ailleurs et avec force, le film -autant que Psycho, je dirais - Passionnant dialogue; comme toujours.

posté le 12/12/2015 à 15h45

05/12/2015 - Aux Ressources - Nuits blanches

@Victorin Martin, perso ça fonctionne mais il n'y a qu'une seule proposition de taille. Le premier conseil d'usage est de tester en changeant de navigateur.

posté le 12/12/2015 à 13h12 ( modifié le 12/12/2015 à 13h26 )

28/06/2014 - Dans Le Film - Un Spectateur Français

Je ne suis malheureusement pas un intellectuel mais je suis subjugué par la qualité de votre travail. Un tel dialogue introspectif sur l'oeuvre d'un cinéaste, exo-promotionnel, me change de la télé et m'oxygène.
S'il ne s'agissait pas de faire écho à "D@ns le texte", je dirais que vous travaillez plutôt d@ns le cinéma. Je n'ai pas encore tout vu du site -chanceux que je suis- mais je vous remercie d'avance, vous Murielle, particulièrement Judith et toute l'équipe.

posté le 06/12/2015 à 13h47